Il y a aussi les truffes qui écrivent des polars sans substance, sans réel knowledge des calibres par exemple — Manchette les stigmatise ces imposteurs dans un ou deux de ses brillants textes critiques sur le « noir » — et cela s'applique aussi aux traducteurs qui ne prennent pas le pli de se documenter avant de s'attaquer à un hardboiled quelconque. Autre art, autres fumistes : cela s'applique aussi au cinéma bourgeois, exemple : le dernier Téchiné sur le sida, ridiculement accessoirisé(1). Les « auteurs » de mes deux méprisent donc les détails, la décoration, la documentation sur l'époque ? Vulgaires préoccupations, hein ? Go fuck 'emselves.
(1) La lèvre supérieure d'Emmanuelle Béart est-elle un accessoire de cinéma ?
(1) La lèvre supérieure d'Emmanuelle Béart est-elle un accessoire de cinéma ?
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