jeudi 31 mai 2007

De l'erreur judiciaire et du doute, puis délayage en trois paragraphes. 8/20

Le constat est effrayant : vous ne donneriez pas vos enfants à garder à Patrick Dils.

Veuillez ne pas me piquer trop ouvertement l'idée, qui constitue peut-être le début d'une des nouvelles qui me rendront riche. Et pourquoi tu l'écris ici, pommasse ? Ma réponse sera bancale. Parce qu'il pleut, que Roland-Garros est suspendu, noyé sous l'ondée au milieu (stricto sensu) d'un tie-break entre Mauresmo et Dechy (la girl next door au charme imparable), que profiter de ce trou dans mon emploi du temps pour traverser la rue et acheter ma pitance au Franprix n'est pas possible, il flotte, te dis-je, et je suis un chat échaudé.

À la télévision le survivant d'un crash avoue chez Ruquier avec un accent hispanique quelconque (Chili ? possible) qu'il a consommé de la viande humaine. Chili con carne, quoi.

« Ma mère pour un calembour », annonce le con orphelin.

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